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Le saviez-vous?

Notre rubrique «Le saviez-vous?» vous donne un aperçu des faits nouveaux, surprenants et parfois bizarres du secteur du tourisme. Tous les articles publiés à ce jour sont répertoriés ici. D'autres faits intéressants, que nous devrions aussi publier dans notre newsletter, sont toujours bienvenus.

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    6 newsletters avec différents points forts

    Saviez-vous que la Fédération suisse du tourisme (FST) publiait en plus de ce «Bulletin» cinq autres newsletters avec différents points forts?

    Les KONA-News sont envoyées au moins trois fois par an et abordent des thèmes actuels concernant le Centre de compétences pour la durabilité (KONA) et le tourisme durable.

    Six fois par an, les quelque 2500 entreprises membres de Swisstainable, destinations, émetteurs de certificats et expéditeurs de programmes reçoivent en exclusivité les dernières informations sur l’initiative.

    La newsletter OK:GO présente également tous les deux mois les nouveautés concernant l'initiative et partage des informations pertinentes sur le tourisme inclusif.

    A partir de mai 2024, le département Politique du tourisme informera dans une nouvelle newsletter sur les thèmes importants et actuels de la politique du tourisme et les présentera sous différentes perspectives. 

    La newsletter Du côté du Palais fédéral présente la position de la FST sur les affaires traitées au Parlement. La newsletter sera envoyée avant et après les sessions parlementaires.

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5 traditions hivernales qui n'existent qu'en Suisse

Les traditions hivernales régionales et locales sont une composante importante de l'espace alpin et donc de notre culture suisse. Qu'elles soient d'origine laïque ou religieuse, le but de ces traditions est toujours le même: chasser l’année passée et marquer le début de la nouvelle. 

Le «Harder Potschete», célébré le 2 janvier, fait partie des traditions du Nouvel An et vise à laisser derrière soi les esprits de l'année qui s’est achevée et à accueillir ceux de la nouvelle.
 
Dans le Lötschental valaisan, on célèbre le bannissement de l'hiver lors du «Tschäggättä», du lendemain de la Chandeleur jusqu’à minuit le mardi gras. Des hommes avec des masques en bois et portant des fourrures d'animaux frottent avec de la neige le visage de celles et ceux qu’ils réussissent à attraper.

La tradition hivernale la plus connue des Grisons, le «Chalandamarz», est célébrée le 1er mars. On y chasse les mauvais esprits en faisant sonner les cloches – plus il y a de bruit, plus l'hiver est censé se terminer rapidement. 

À Splügen, le mercredi des Cendres, les «Pschuurirollis» parcourent le village et attrapent les enfants et les femmes célibataires pour leur noircir le visage avec de la graisse ou de la cendre.

Le premier dimanche de Carême, on allume à Liestal d'énormes torches en bois de pin, les «Chienbäse», afin de chasser l'hiver. 

Vous trouverez plus de détails à propos de ces traditions sur le site Internet de Présence Suisse (un service dépendant du Département fédéral des affaires étrangères).

Des parlementaires favorables au tourisme

Avec environ 60 membres, le Groupe parlementaire pour le tourisme (GPT) est l’un des plus grands groupes parlementaires à Berne. Le GPT se réunit quatre fois par an pour discuter d’affaires ayant trait au tourisme ou de thèmes actuels du secteur. Pour la FST, les membres du GPT sont les premiers interlocuteurs pour faire entendre les préoccupations du tourisme au Parlement. 

L'art de l'horlogerie à Bienne

Aux 17e et 18e siècles, l'art horloger s'est répandu de Genève au reste de la Suisse en passant par l'Arc jurassien. Mais saviez-vous que Bienne – aujourd'hui connue comme le centre de l'industrie horlogère suisse – n'est venue à l'horlogerie que tardivement et par nécessité? Le déclin de l'industrie de l'indienne (procédé d'impression sur textile) a plongé l'économie locale dans la crise et c'est ainsi qu'à partir de 1844, des horlogers ont été attirés dans la ville grâce à des incitations fiscales.
Il semble que le bilinguisme biennois soit également fortement lié aux développements autour de l'industrie horlogère, car avec la nouvelle industrie, ce ne sont pas seulement d'autres personnes qui sont arrivées à Bienne, mais aussi de nouvelles langues. Bienne est aujourd'hui la plus grande ville bilingue de Suisse.

La FST en chiffres

Connaissez-vous bien notre fédération et nos projets? Saviez-vous par exemple que nous regroupons sous notre toit près de 500 membres issus de tout le secteur du tourisme et au-delà? Sous le label Accommodation Classification, nous comptons environ 10 000 appartements de vacances, chambres d’hôtes et Bed and Breakfasts classés dans toute la Suisse. Plus de 40 destinations touristiques échangent leurs points de vue dans le cadre du projet Destination Lab et notre groupe parlementaire Tourisme compte 56 membres. Dans notre rapport annuel, vous découvrirez d'autres chiffres clés et vous obtiendrez une vue d’ensemble détaillée du travail de notre fédération.

Tourisme sans barrières

On estime qu'environ 15% de la population mondiale présente une forme de handicap permanent et que ce taux va continuer à augmenter selon les tendances démographiques actuelles. En Europe, entre 20 et 37% de la population a des besoins spécifiques en matière d'accessibilité, dont 40% des personnes de plus de 65 ans. En 2020, la Suisse comptait plus de 1,8 million de personnes handicapées, soit 20,8% de la population totale. En outre, les personnes de plus de 65 ans représentent au total 18,8% de la population suisse (OFS, 2020). C'est une raison suffisante pour se consacrer également d’un point de vue touristique à ce groupe cible croissant et pour profiter des offres telles que l'initiative OK:GO ou MountOn pour rendre le tourisme suisse plus accessible.

Comment le ski est-il né en Suisse?

Vers 1900, les stations touristiques des Alpes ont découvert le potentiel économique des sports d'hiver, qui permettaient aux stations d'avoir une deuxième saison en plus de l'été. Le ski s'est alors rapidement développé pour devenir une activité hivernale populaire. En 1920, 100 clubs de ski étaient déjà enregistrés et le premier téléski a été inauguré en 1934 à Davos. 

Pour en savoir plus sur l'histoire du ski suisse, consultez l'article du Dictionnaire historique de la Suisse

Mise à jour de la liste des traditions vivantes en Suisse

L'Office fédéral de la culture (OFC) tient une «liste des traditions vivantes en Suisse». Celle-ci comprend notamment le carnaval de Bâle, le graphisme suisse, le sport traditionnel du hornuss ou la Fête des Vignerons. La liste a été publiée pour la première fois en 2012 et a déjà été actualisée une fois en 2017. Une nouvelle étape d'actualisation est en cours de planification. L'accent sera désormais mis sur les traditions qui contribuent au développement durable. La deuxième actualisation de la liste sera finalisée d’ici la fin de l’été 2023.

Qui a inventé les chemins de randonnée?

Jakob Ess, un enseignant de Suisse orientale. Alors qu'il se promenait avec sa classe sur le col du Klausen, il a été dérangé par les nombreuses voitures dont les gaz d’échappement gâchaient largement le plaisir de la randonnée. Il a alors décidé de faire en sorte que des itinéraires soient créés dans différentes régions de Suisse pour les promeneurs et les randonneurs. C'est à son initiative que les chemins de randonnée pédestre suisses ont vu le jour en 1934. Dès le premier jour, un style de signalétique uniforme a été défini pour toute la Suisse. Les panneaux jaunes à l’écriture noire existent encore aujourd'hui. Entre-temps, les chemins de randonnée pédestre sont devenus incontournables en Suisse et les chemins de randonnée pédestre sont même réglementés par la Constitution fédérale depuis 1979 et par la loi fédérale sur les chemins pour piétons et les chemins de randonnée pédestre depuis 1985.

Le plus long escalier du monde

Le Niesenbahn est l'un des plus longs funiculaires d'Europe. Mais ce n'est pas tout. Il établit même un record mondial avec son escalier le long des voies, qui compte 11 674 marches au total et est ainsi le plus long du monde selon le Livre Guinness des records. Les marches ne sont pas accessibles au public, sauf lors de la course annuelle des escaliers du Niesen. Cette course très appréciée - qui affiche complet en 2022 - est réservée aux personnes qui ne manquent pas d’ambition: «Pour participer, il faut être en forme et entraîné», expliquent les organisateurs. Le record pour effectuer le parcours qui présente 1643 mètres de dénivelé est de 55 minutes et 55 secondes. À titre de comparaison, la montée par les chemins de randonnée de montagne balisés dure environ cinq heures pour les sportifs de base au départ de Mülenen.

Des traditions pascales variées en Suisse

Pâques est à nos portes - un week-end prolongé qui compte énormément sur le plan touristique. Certaines destinations en Suisse ne sont pas seulement visitées par tradition touristique, mais aussi pour leurs traditions pascales. Mendrisio organise par exemple le Jeudi saint la traditionnelle procession pascale. Cette coutume présente une valeur culturelle: fin 2019, l'UNESCO a inscrit les processions de la Semaine sainte à Mendrisio sur la liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l'humanité. La tradition est également respectée à Romont, dans le canton de Fribourg, où le Vendredi saint, des femmes vêtues de noir (les «Pleureuses») organisent une procession près de l'église locale. La petite ville de Bischofszell, en Suisse orientale, connaît une tradition haute en couleurs: pendant la période pascale, les fontaines de la ville sont décorées d’ornements printaniers qui symbolisent la reconnaissance de la population envers la reprise de l’écoulement de l'eau des fontaines après l'hiver et le réveil de la nature. Cette coutume remonte au milieu du Ve siècle.

Des montagnes à perte de vue

La Suisse est un pays montagneux. Jusque-là, pas de problème. Mais saviez-vous que près de 70% de la surface totale de la Suisse est constituée de montagnes? Proportionnellement, cela correspond assez bien à la répartition des eaux et des terres sur toute la superficie terrestre (70% = océans, lacs et cours d'eau, 30% = terres). Les Alpes occupent la plus grande partie de la surface totale, soit environ 58%, et le Jura 11% supplémentaires. Pas moins de 48 sommets suisses dépassent les 4 000 mètres d'altitude. Autre fait intéressant: les Alpes représentent l’essentiel du territoire national, mais n'abritent que 11% de la population.

Le village céleste, qui compte 100 habitants

Quels sont les points communs entre le village de Gimmelwald, qui compte 100 habitants, et Zermatt, Zurich ou Interlaken? Pour nous, Suisses, pas grand-chose au premier abord. En revanche, pour les touristes américains, le village sans voitures de la vallée de Lauterbrunnen est au moins aussi connu que ces trois destinations bien plus célèbres. En effet, le journaliste américain de voyage Rick Steves, spécialisé dans les voyages, est tombé amoureux de ce petit village il y a quelques années. «Si le ciel n'est pas ce que j'imagine, renvoyez-moi à Gimmelwald», a-t-il écrit un jour, donnant ainsi à ses compatriotes l'envie de découvrir ce lieu qu'il considère comme surnaturel et qui est le point de départ idéal pour une excursion au Schilthorn.

Des pistes de ski aussi longues que de Zurich à Chicago

La saison d'hiver 2021/2022 est à nos portes, voire a déjà commencé dans certaines stations de ski. Une fois ouvertes toutes les pistes balisées de Suisse, les skieurs auront à leur disposition un total de plus de 7'000 kilomètres de forfaits de ski. C'est à peu près l'équivalent de la distance entre Zurich et Chicago - ou entre Genève et les Seychelles. En outre, il existe environ 5'500 kilomètres de pistes de ski de fond et plus de 600 kilomètres de pistes de luge.

Châteaux et forteresses Suisses

La Suisse n’a jamais connu de monarchie, mais l’absence de tradition royale n’empêche pas l’existence d’un nombre étonnant de châteaux et de forteresses. Notre pays recense 1'833 demeures seigneuriales, 844 châteaux et ruines visibles et 989 anciens sites de châteaux. 25 des châteaux et forteresses les plus connus du pays se sont regroupés pour former l'association «Châteaux suisses». D'ailleurs, le château le plus visité est celui de Chillon, sur les rives du lac Léman, qui attire environ 430'000 visiteurs par an.

Plus forte densité de musées

La Suisse est le pays du monde où la densité de musées est la plus forte. Selon l'Office fédéral de la statistique, il n'en comptait pas moins de 1'129 en 2019. Outre les musées connus, tels que le Musée national de Zurich ou le Musée olympique de Lausanne, il existe aussi des centres d'exposition moins connues, par exemple, le Musée de la grenouille à Estavayer-le-Lac ou le Musée de la paille à Wohlen/AG, qui est consacré à l'histoire de l'industrie du tressage des chapeaux du Freiamt.

Itinéraires de car postal extraordinaires

«Effrayant. Il ne faut pas regarder: Certains itinéraires de car postal ne sont pas faits pour les mauviettes», écrit la revue de randonnée Wandermagazin Schweiz dans son dernier numéro. De fait, sur les 900 lignes du réseau routier de plus de 16'000 kilomètres, il y a parfois de quoi avoir peur. Ainsi, la route pour Derborence dans le Bas-Valais, se trouve au milieu d'une zone de glissement de terrain et, par endroits, n'est séparée du précipice que par une petite glissière de sécurité ou un minuscule mur. Des photos? Vous les trouverez ici.

Pompes à Bali

À Bali, paradis de vacances, les masques sont obligatoires depuis août 2020. Cependant, selon la police locale, 90 % des touristes étrangers ne respectent pas cette consigne. Normalement, la police inflige une amende de 100'000 roupies indonésiennes (l'équivalent d'un peu plus de 6 francs) aux personnes qui refusent de porter un masque. Mais si les touristes n'ont pas l'argent sur eux, ils sont tenus de faire 50 pompes à la place! Ceux qui portent un masque mais n'ont pas le nez couvert s'en tirent mieux: dans ce cas, les personnes concernées ne doivent faire «que» 15 pompes.

Le plus long nom de lieu en Europe

Vous avez certainement déjà rencontré des noms de lieux inhabituels lors d'un de vos voyages. Mais je parie que vous n'avez pas encore entendu le plus long nom de lieu en Europe. Llanfairpwllgwyngyllgogerychwyrndrobwllllantysiliogogogoch est le nom d'un village au Pays de Galles ! En gallois, ce nom imprononçable signifie: «Eglise de la Vierge Marie dans un creux de noisettes blanches près du tourbillon rapide et l'église de Thysilio près de la grotte rouge.»

On n'est jamais à moins de 16 kilomètres d'un lac

2020 est l'année où les Suisses découvrent leur propre pays - et leurs propres lacs. Il n'y en a pas moins de 1'500, ce qui signifie qu'en Suisse, on n'est jamais à moins de 16 kilomètres d'un lac. Le refroidissement est donc garanti à tout moment dans toutes les régions de la Suisse.

Nation Brands Index

Selon le «Nation Brands Index», la Suisse jouit d'une très bonne image en comparaison internationale. En 2019, elle s'est classée (il est toujours possible de faire mieux) en 8e position sur un total de 50 places possibles, ce qui la fait arriver en tête des pays de petite taille ou de taille moyenne. Il est intéressant de noter que les pays plus éloignés de la Suisse ont tendance à en avoir une opinion plus positive que les pays plus proches, à l’exception de l'Allemagne, qui, avec la Russie et la Chine, est l'un des pays qui ont donné à la Suisse la meilleure note.

Situation particulière pour la FSVL

Dans le cadre des mesures d'assouplissement liées au coronavirus, les différents domaines sont analysés en détail et évalués séparément. La situation est particulière pour la Fédération Suisse de Vol Libre FSVL. Alors que les parapentes en tandem sont considérés comme des prestataires de services touristiques et sont donc traités comme les autres prestataires de services touristiques, les écoles de vol et les pilotes individuels sont classés dans la section «Sport». Ce n'est pas la seule raison pour laquelle le vol en solo est à nouveau autorisé: le «problème de proximité» ne se pose évidemment pas avec ces parapentes... Quel que soit le résultat de l’évaluation, la FSVL espère que les deux catégories pourront être bientôt proposées à nouveau.

Plus de 65'000 kilomètres des chemins de randonnée en Suisse

Si tous les chemins de randonnée de Suisse étaient mis bout à bout autour de l'équateur, ils permettraient de faire plus d'une fois et demie le tour de la Terre. En chiffres: le réseau des chemins de randonnée suisses s'étend sur plus de 65'000 kilomètres, alors que l'équateur ne mesure «que» 40'075 kilomètres. Mais en étant moins objectif, on doit dire que le chemin autour de l'équateur ne serait qu'à moitié aussi beau.

Plus d'arrivées de touristes internationaux

Les arrivées de touristes internationaux continuent de croître plus rapidement que l'économie. En 2019, le nombre d'arrivées de touristes internationaux dans le monde a augmenté de 4 % pour atteindre 1,5 milliard. C'est ce qu'indique le Baromètre du tourisme mondial de l'OMT. Le Moyen-Orient est en tête de la croissance (+ 8%), suivi par l'Asie et le Pacifique (+ 5 %). Les arrivées internationales en Europe et en Afrique (+ 4 % chacune) ont augmenté conformément à la moyenne mondiale, tandis que le continent américain enregistrait une croissance de 2 %.

Le travail bénévole

1'348'000'000'000'000 (1.348 trillions) de dollars, soit le double du produit intérieur brut de la Suisse: telle est la valeur économique générée chaque année par le travail bénévole à l’échelle mondiale. C'est ce qu’ont découvert des économistes de l'Université John Hopkins. Ils ont également relevé que les bénévoles fournissent un total de 227 milliards d'heures non rémunérées par an, qu'ils connaissent généralement très bien l'Internet et que la majorité d'entre eux sont des femmes. De nombreuses manifestations touristiques (par exemple dans le domaine du sport ou de la culture) ne pourraient même pas avoir lieu sans l'aide de bénévoles.

Nous avons été les premiers sur la Lune...

Pendant la guerre froide, les Etats-Unis et l'Union soviétique ont essayé de se surpasser mutuellement sur le plan technologique. La «conquête de l'espace» était alors considérée comme le sommet du progrès technologique humain. A l'arrivée sur la Lune, il était prévu que les «découvreurs» marquent leur premier pas sur la Lune en posant leur drapeau – en l’occurrence celui des Etats-Unis – sur la roche extraterrestre. Mais on ignore souvent qu’avant même que le drapeau américain ne soit hissé, l'astronaute d’Apollo 11 Buzz Aldrin avait déjà installé sur la Lune la voile solaire de l'Université de Berne. Or, il s'est avéré plus tard qu'un mécanicien qui avait travaillé sur cette voile avait gravé une petite croix suisse sur la barre en aluminium. Même si les Suisses n’ont pas gagné la «course à l’espace», on peut donc dire qu’ils ont été les premiers touristes de l'espace ou de la Lune.

12'000 hôtes chinois

Les 12'000 Chinois qui ont «envahi» la Suisse en 3 vagues en mai dernier ont attiré l'attention des médias. Depuis lors, le terme d’«overtourisme» est à nouveau sur toutes les lèvres. Or, beaucoup de gens ignorent que la société Jeunesse Global, qui finançait ce voyage destiné à récompenser les personnes ayant atteint leurs objectifs annuels, s'attendait à ce que «seulement» 3'000 employés soient concernés. En fin de compte, les patrons ont dû mettre la main au portefeuille un peu plus que prévu. C’est tout à notre avantage: le groupe de voyageurs a dépensé quelque 14 millions de francs en quelques jours à peine.

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